Un verre à moitié plein
Pour nous dans la branche de la boulangerie-confiserie, novembre et surtout décembre sont les mois les plus intenses. Le manque de personnel qualifié rend cette période déjà exigeante encore plus laborieuse.
« Notre métier a de l’avenir »
Silvan Hotz, président de la BCS, et Urs Wellauer-Boschung, directeur, dirigent une association relativement petite, néanmoins confrontée à des questions substantielles qui font la une des journaux. Les domaines d’activité et les défis en matière de gestion sont donc importants et variés.
Plus d’apprentis en production
Nouvelle réjouissante pour la production dans le secteur de la boulangerie-confiserie : on recense pour la première fois en 2024 une légère augmentation du nombre de nouveaux apprentis et apprenties, le commerce de détail devant pour sa part faire face à une diminution après deux années de stabilité.
Élargir les horizons
Fin octobre, j’ai eu le plaisir de participer à un voyage de formation continue au Pays-Bas et en Belgique avec notre groupe ERFA Chaine Confiseur (« Panissimo » du 22 novembre). Une fois de plus, j’ai pu élargir mes horizons et voir beaucoup de choses positives, mais aussi quelques-unes qui l’étaient moins. On peut apprendre des deux, si on le souhaite ! L’important est de toujours garder l’esprit ouvert.
Coup d’envoi du processus stratégique 2030
Fin novembre, le comité central de l’Association suisse des patrons boulangers-confiseurs (BCS) a donné le coup d’envoi du processus stratégique 2030 lors de sa séance de deux jours. La révision totale en production, la baisse du nombre d’apprentis et apprenties dans le commerce de détail, la convention collective de travail, le budget, les institutions de la BCS – Panvica et SBC Fiduciaire SA –, la communication et le marketing ainsi que d’importants sujets politiques étaient également à l’ordre du jour.
Des idées fraîches
« Panissimo » est paru pour la première fois dans un tout nouveau « look and feel » il y a presque trois ans. Les réactions ont été pratiquement […]
Le dernier Bastion
Dans le monde du travail actuel, l’entrepreneur ou l’entrepreneuse est souvent le dernier bastion de l’entreprise. Surtout lorsqu’il s’agit de pallier les absences de dernière minute au sein de l’équipe…
Une question se pose alors : l’absentéiste notoire mérite-t-il vraiment le qualificatif de « collaborateur » ? Après tout, il n’est guère disposé à collaborer…
L’union fait la force
Depuis ma tendre enfance, j’entends parler de cette belle et grande famille des boulangers-confiseurs mais est-ce toujours le cas aujourd’hui ?