A l’occasion des SwissSkills, les meilleurs talents de la branche se sont mesurés les uns aux autres. Pendant les préparatifs, l’accent a été mis sur la sécurité au travail et la protection de la santé. Lors de la visite avec l’inspectrice du travail, le principe STOP a été appliqué.
Après des mois de préparation, l’espace dédié aux championnats à Bernexpo a été terminé à temps comme chaque année. Pendant les SwissSkills, les visiteurs ont découvert les métiers de la boulangerie et de la confiserie. Le déroulement des championnats ne devait mettre en danger ni les participants ni les visiteurs.
Comme dans une petite exploitation typique, il fallait respecter les règles de sécurité de la solution sectorielle. L’organisateur a demandé une évaluation des risques bien avant l’événement. Il fallait s’assurer que les exigences du salon bernois étaient respectées. Les participants et les collaborateurs de l’événement ont donc été informés des numéros d’urgence, du point de rassemblement et des moyens d’extinction disponibles. A la fin du montage, le stand a aussi été contrôlé par une représentante de l’inspection du travail de Berne.
Mesures STOP aux SwissSkills
Pendant la préparation, le principe STOP habituel a été appliqué (voir Panissimo 11 / 25) : là où c’était possible, les dangers ont été écartés. Les réchauds à gaz ont été remplacés par des plaques à induction, par exemple. Les risques liés aux récipients sous pression ou aux instructions pour changer les bouteilles de gaz ont ainsi été évités. Au niveau des mesures techniques, des appareils de dernière génération ont été utilisés. Leurs dispositifs de protection permettent d’éviter de nombreux scénarios d’accidents possibles et de réduire le temps consacré à expliquer les consignes.
Pour les mesures organisationnelles, une brève formation a été dispensée aux participants. La veille des championnats, ils ont reçu une introduction au concept d’urgence et aux machines mises à leur disposition. Des mesures individuelles ont été prises dans certains cas où les risques restants n’auraient pas pu être éliminés par des mesures de substitution, techniques ou organisationnelles.
Benjamin Horand, resp. antenne MSST
et management de qualité