Comment sont nées les nouvelles pubs de l’Association romande des artisans boulangers-pâtissiers-confiseurs (ARABPC) ? Quel investissement représentent-elles ? Quelles sont les retombées ? Laure Jacquat, responsable de la communication de l’association et co-initiatrice du projet, répond à ces questions et à d’autres…
Depuis décembre, les téléspectateurs et les internautes peuvent découvrir quatre nouvelles publicités de l’ARABPC. Ces saynètes promeuvent les professions de la branche, en quelques secondes. Un accent particulier a été mis sur le savoir-faire et la passion des artisans.
Laure Jacquat, quelle est cette nouvelle campagne publicitaire ?
Faite avec humour, cette campagne présente notre artisanat au travers de spots ayant pour sujet les métiers de boulanger, de pâtissier et de confiseur. Nous ne voulions oublier personne ! L’objectif est de dynamiser, de mettre en valeur notre artisanat et de lui donner une image sympathique et moderne.
Quel est son message ?
Il s’agit de faire comprendre aux gens que notre métier est fait avec beaucoup de savoir-faire et de passion, et que toute notre production est faite à la main par des personnes et non des machines. Dans nos métiers, rien ne se fait par magie. Derrière les produits des artisans, ce n’est pas du congelé que l’on réchauffe, mais bien un produit confectionné avec compétences et passion.
Sur quels médias sont diffusés les films ?
Ils sont diffusés sur les réseaux sociaux (Youtube, Facebook), des plates-formes en ligne («Le Matin », « 24 heures », « 20 minutes », etc.), sur www.lepain.ch et sur M6. Pour la télévision, nous avons réalisé une version concentrée des trois spots. Nous avons aussi ajouté des enfants pour le capital sympathique. Une seconde programmation est prévue du 1er au 28 février, pour environ 96 passages.
Pourquoi avoir choisi M6 et pas une autre chaîne ?
Le rapport prix / nombre de diffusions et impact sur les téléspectateurs romands était le meilleur.
Comment est né le projet ?
Les différentes campagnes faites par notre association s’adressaient toujours directement à nos clients soit par des messages sur nos sachets, soit par des concours dans nos boulangeries : la Quinzaine saine, par exemple. L’idée était alors de toucher un plus large public…
… la suite dans l’édition n°2/18 du 26 janvier de «panissimo».