Martin Schnyder, chef des finances de la BCS, pense à sa vie professionnelle trépidante et trouve une grande motivation dans la promotion des jeunes professionnels.

Chère lectrice, cher lecteur,

Le mois de février a été marqué par des journées de folie, non pas à cause des Jeux Olympiques ou parce que Lara Gut a enfin décroché la médaille d’or tant attendue lors de ces jeux, ce dont je la félicite de tout cœur. Elle le mérite vraiment.

Non, pour moi, les journées de folie se sont enchaînées à partir du moment où j’ai reçu les comptes annuels de la SA de prestations et de la fondation Richemont le 1er février, ceux de la BCS et de la fondation de secours le 3, où j’ai dû œuvrer en tant qu’expert lors d’un examen professionnel en Suisse centrale les 5 et 6, le week-end donc, participer à la réunion de clôture des comptes de la BCS le 7, et à celle de Richemont le 10. Entre-temps, il y a encore eu le
débriefing de l’examen professionnel avec mon collègue expert, pour régler les derniers points. Sans oublier l’assemblée générale
de la « Zunft zum Schneebesen » de la ville de Saint-Gall, dont je suis le trésorier. Et sans parler encore du travail quotidien, de la gestion, de la direction, de la résolution de problèmes et bien sûr toujours
du coronavirus avec son lot d’absences de collaborateurs
se contaminant partout.

De vraies journées de folie !

Pourquoi est-ce que je fais ça ? Sincèrement, je ne me suis jamais posé cette question avant ! Mais, je le fais maintenant, au moment d’écrire un bel article pour « Panissimo ».

Je le fais parce que tous ces efforts permettent à de nouveaux jeunes professionnels de grandir. Que ce soit dans le cadre de concours tels que les SwissSkills, les WorldSkills ou les championnats du monde juniors que soutient la BCS. Ou dans celui du vivier de talents de l’Ecole professionnelle Richemont, qui prépare les jeunes à relever les défis pouvant précisément se présenter lors de ces concours. Chaque candidat à l’examen professionnel vaut également la peine de s’adonner à ce travail.

Les quatre dernières semaines de janvier ont été folles lorsque les deux jeunes professionnels Vanessa Schnyder et Patrick Beereuter se sont surpassés dans « The Masters of Sweets » sur RTL. Personnellement, cela m’a profondément touché parce que je suis très proche d’eux.

Voir cela vaut bien toutes les journées de folie telles que celles que je vis régulièrement. C’est pour cela que je ne ménage pas mes efforts. Essayez vous aussi ! Vous serez récompensés en émotions.

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