En vue du nouveau centre de formation romand à Yverdon-les-Bains (VD), le comité de l’Association romande des artisans boulangers-pâtissiers-confiseurs a visité les locaux de Richemont à Lucerne.
Le comité de l’Association romande des artisans boulangers-pâtissiers-confiseurs a tenu sa réunion mensuelle à l’Ecole professionnelle Richemont à Lucerne. Au terme de la séance, il a convié les présidents cantonaux, les chefs de la formation, les responsables de cours interentreprises (CI) de la Romandie à visiter l’école. L’objectif : adapter au mieux le nouveau centre de formation romand à Yverdon-les-Bains (VD) pour les quinze prochaines années.
Le responsable de Richemont Romandie, Sébastien Knecht, avec son équipe romande, Yves-Alain Braichet, responsable adjoint pâtisserie-confiserie, Muriel Rey, commerce de détail, Petra Elmiger, administration des cours, et Arlette Picard, boulangerie-pâtisserie, ainsi que le directeur Reto Fries, les a guidés.
Quelle infrastructure est nécessaire ? Quels sont les coûts ? Comment les pièces devraient-elles être aménagées ? Quel matériel supplémentaire est nécessaire ? A quoi ressemble l’échéancier provisoire ? A ces questions et à bien d’autres, on a tenté d’apporter des réponses. Une liste de souhaits a été créée. Le but, pour le moins sportif, des Romands : débuter les CI du premier canton à l’été 2020.
« Ni luxueux, ni trop grand »
« Richemont Romandie ne doit pas devenir ni luxueux, ni trop grand », souligne Jean-François Leuenberger, responsable du projet de la nouvelle école professionnelle à Yverdon. Il est important de trouver une solution optimale. Avant tout, les CI de tous les cantons romands devraient y avoir lieu. A une exception près : « Vaud est très bien organisé et fait un excellent travail dans le secteur de la relève. C’est pourquoi, nous ne comptons pas sur les Vaudois pour les CI. Le canton est cependant pleinement derrière nous en ce qui concerne la formation continue et la formation professionnelle supérieure », explique M. Leuenberger.